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Vote de confiance: François Bayrou se prépare à faire face à un vote de confiance le 8 septembre, dont l'issue semble incertaine et pourrait mener à la chute du gouvernement.
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Négociations: Bayrou est ouvert aux négociations budgétaires si le vote de confiance est maintenu.
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Opposition: Les oppositions (LFI, RN, PS, PCF) sont déterminées à provoquer la chute du gouvernement.
Réactions et positions des différents acteurs:
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Jean-Luc Mélenchon (LFI): Critique virulente contre Bayrou, dénonçant son discours et qualifiant la situation de crise. Il appelle au blocage de Macron le 10 septembre.
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Marine Le Pen (RN): Démontre que Bayrou a menti en affirmant que le RN était en vacances pendant l'été.
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Manuel Valls (Ministre des Outre-mer): Est contre de nouvelles élections législatives.
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Jean-François Copé (LR): Estime qu'Emmanuel Macron doit annoncer son départ dans six mois, après les élections municipales si le vote de confiance échoue.
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Raphaël Glucksmann (Place publique): Ne formera pas d'accord avec LFI en cas de dissolution.
Autres points à retenir :
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Mobilisation du 10 septembre : Appel à une journée de blocage, critiqué par Bayrou.
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Rencontre des entrepreneurs de France (REF) : Bayrou y participera pour défendre son projet budgétaire.
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Tension politique: Une forte tension politique est palpable avec l'amorce d'une possible crise gouvernementale.
En résumé, la France se dirige vers une semaine décisive sur le plan politique, avec un vote de confiance crucial qui pourrait entraîner un changement de gouvernement voire une dissolution de l'Assemblée Nationale. Les différents acteurs politiques se positionnent et s'affrontent à l'approche de ce moment clé.