Article 1 : Condamnation de Nicolas Sarkozy : l’ancien président ne veut « en aucun cas » être gracié et dénonce un « complot »
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Refus de grâce: Nicolas Sarkozy affirme catégoriquement qu'il ne souhaite pas être gracié par Emmanuel Macron, car cela impliquerait une reconnaissance de sa culpabilité, ce qu'il refuse catégoriquement. Il compte se battre pour prouver son innocence.
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Dénonciation d'un complot: Il critique le rôle de la note de Mediaparty (document accusé d'être un faux) dans son procès et estime qu'elle a contribué à sa défaite aux élections de 2012. Il parle d'un complot et d'une injustice qui doit être réparée.
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Critique de l'exécution provisoire de sa peine: Il exprime son étonnement et son indignation face à l'exécution provisoire de sa peine, qu'il considère comme disproportionnée et contraire à l'état de droit.
Article 2 : Condamnation de Nicolas Sarkozy : l’ancien président ne veut « en aucun cas » être gracié et dénonce un « complot »
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Refus de grâce: Il réitère son refus de solliciter une grâce présidentielle soulignant qu'il ne reconnaît pas sa culpabilité.
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Document essentiel: Il souligne l'importance du document publié par Mediapart. La magistrate à remis en question l'authenticité de cette preuve centrale. Il considère que ce document est probablement un faux.
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Violation de l'état de droit. Il estime que l'exécution provisoire de sa peine est une violation de l'état de droit. Il est convoqué par le PNF pour déterminer la date de son incarcération.
En résumé, les deux articles présentent la réaction de Nicolas Sarkozy à sa condamnation : un refus catégorique de reconnaître sa culpabilité, une dénonciation de ce qu'il perçoit comme un complot et une violation de l'état de droit, et un refus d'accepter une grâce.